Collaboratrice
Catherine Girard s'intéresse aux effets des microorganismes sur la santé humaine et la santé écosystémique dans l’Arctique en changement. À l’aide d’outils moléculaire et bio-informatiques, et en combinant l’écologie, la géochimie et les savoirs locaux, je vise notamment à comprendre comment, lorsqu’ils se mettent à fondre, les glaciers et le pergélisol peuvent libérer dans l’environnement des microbes qui peuvent ensuite se disperser dans ces milieux changeants et avoir une incidence sur les services écosystémiques et la santé des résidents du Nord.